J'adore la Saint Valentin ! Voilà encore une belle occasion de se trouver mal aimée, mal traitée si l'amoureux n'est pas à la hauteur. Voire de se rendre compte que l'on est tout ou toute seule ce jour-là, sacré entre tous pour les amoureux et désespérant pour les autres. Inutile donc, de détester un brave type qui n'aura pas été financièrement à la hauteur le 14 février. Mieux vaut qu'il soit gentil, voire généreux les 364 autres jours. Encore que, l'un n'empêche pas l'autre... Tout le monde le sait, le Prince Charmant n'existe pas. Essayons donc de faire avec les moyens du bord...
Au chapitre des initiatives originales pour la Saint Valentin, je vous ai trouvé une poignée de soirées ou formules intéressantes. En tête, Guy Martin du Grand Véfour, qui a justement lui, la tête du Prince Charmant. Depuis qu'il a créé ses cours de cuisine et pris en mains les destinées de la Cristal Room Baccarat, ancienne salle à manger de Marie Laure de Noailles, il fait très fort. Trois menus au Sensing, à l'Atelier et à la Cristal Room pour 95 EUR avec la possibilité dans chacun d'eux, de gagner une bague de rêve entre 2200 et 4450 EUR par tirage au sort suivant l'endroit choisi.
A Paris encore et à l'Hôtel Sainte Beuve, au coeur du mythique 6ème arrondissement, proche du Jardin du Luxembourg, on s'offre une nuit en amoureux dans un bel immeuble Haussmannien un rien coquin puisqu'il s'agit tout simplement d'un ancien claque baptisé autrefois, sans bégueulerie aucune, "L'Hôtel des Cent Milles Secousses". Reste que les 22 chambres et toute la déco personnalisée en font un lieu d'un charme absolu. Et pour tous ceux qui veulent rester dans le sujet et préférer les joies de l'alcôve à toutes les autres, il reste la solution des coffrets cadeaux avec "Plaisirs et Tentations" à commander en direct ou à se procurer chez Auchan, Cora, Leclerc et toutes ces bonnes maisons qui assurent nos joies quotidiennes. So romantique...
Les stations de sports d'hiver rivalisent d'ingéniosité évidemment puisque c'est pour eux la pleine saison. A Courchevel, il y a 2 ou 3 ans, on pouvait inscrire des mots d'amour dans la neige et le nom de sa bien aimée sur les "oeufs" de la télécabine. Pas sûr que l'expérience ait été renouvelée. A Sainte-Foy-Tarentaise, en plein coeur du domaine skiable de la Vallée de Tarentaise (Val d'Isère, Tignes, Les Arcs, La Plagne, La Rosière), on propose aux coeurs solitaires, une montée par le télésiège du Grand Plan. 6 minutes montre en main pour un Chairlift Speed Dating ébouriffant. Juste assez pour un coup de foudre et pas trop long à supporter, si on est tombée sur Jean Claude Dusse en vacances.
Sympa aussi, le week-end Saint Valentin en Premières Côtes de Bordeaux au pays de François Mauriac et peut-être le début d'une grande histoire d'amour avec les Cadillac, Loupiac et autres grands vins de l'Entre Deux Mers. Reste, pour les pressés et les paniqueux de dernière minute, la possibilité de réserver une thalasso via un site comme Go Voyages, ce qui permettra même le cas échéant, avec un coffret cadeau de différer la dégustation du présent en offrant le bon dans une enveloppe, à valoir quelques semaines plus tard, histoire de faire durer un peu la Saint Valentin.
Les fastueux exploreront les possibilités des établissements de luxe avec les hôtels Fairmont à New York à partir de 661 EUR pour la nuit de la Saint Valentin "sous réserve de disponibilités" (même à ce prix-là, il n'est pas exclus que ça soit complet) ou à Monte Carlo (à partir de 280 EUR ) ou encore à Montreux sur les rives du Lac Léman (à partir de 399 EUR ). Là où cette formule est appréciable, c'est qu'il est possible de profiter à fond de son séjour et largement de l'accès au Spa Willow Stream. Il est précisé que le départ tardif est possible et c'est prévu aussi au Regent's Garden, premier hôtel 4 étoiles certifié Eco-Label à Paris. Un vrai cadeau, car rien n'est plus pénible que de profiter à peine de sa chambre en se faisant sortir par les femmes de chambre et les aspirateurs dès 10h du matin. Ça, franchement, c'est pas romantique pour un sou !
mercredi 28 janvier 2009
St VALENTIN, QUAND TU NOUS TIENS...
Publié par Martine Montémont à 16:25 0 commentaires
Libellés : Shopping
mercredi 21 janvier 2009
BOCUSE D'OR ET PLAT DU JOUR
C'était il y a 26 ans, en 1983, le premier Salon des Métiers de Bouche se tenait à Lyon au Parc des Expositions situé à l'époque sur les lieux où s'est construite la Cité Internationale. On avait un mal fou à se garer et les exposants n'étaient guère plus nombreux que les commerçants de la Halle de Lyon.
Il aura fallu le déménagement à Eurexpo pour que le salon prenne de l'ampleur, que soit créé le Bocuse d'Or et tous les concours qui l'entourent et font la spécificité du Sirha, le salon professionnel lyonnais par rapport au Sial parisien.
Parce qu'à Lyon, on découvre la tendance de l'alimentation en exposant plus de 600 nouveautés, mais on sait aussi faire la fête et récompenser ceux qui se donnent du mal pour que le contenu de nos assiettes soit toujours appétissant. Là, je vais mettre un bémol. Le salon est professionnel , on l'a déjà dit et les exposants, qui sont là, du 24 au 28 janvier pour vendre les derniers fourneaux pour collectivités, les lave-verres avec osmoseur intégré et les produits en quantité industrielle, ne sont pas venus non plus pour inciter les flâneurs des allées à la dégustation.
Plus de 6000 chefs de 120 pays se donnent rendez-vous au Sirha et il n'est pas facile pour le public d'obtenir une invitation pour se rendre au salon. Quant à l'acheter, il faut montrer patte blanche, décliner sa qualité de professionnel et sur place, c'est littéralement hors de prix. Mais tous les professionnels qui intéressent les exposants ont reçu la leur. On ne va pas décourager le chaland !
C'est tout de même au Sirha que j'ai découvert les poches de mousse au chocolat, les oeufs durs en tube (ça évite de perdre les extrémités !) et autres artifices des collectivités. On trouve les mêmes choses chez Métro et, à Lyon, les Boucheries André, fabriquent volontiers le plat du jour du restaurant. Au point que, par extension, on trouve les mêmes pour les familles pour 2, 3 ou 4 personnes.
Faut-il se scandaliser qu'un cuisinier ne prépare pas lui-même ce qu'il sert à ses clients. Ben oui ! Parce que à quoi bon se rendre au restaurant s'il suffit d'acheter soi-même le même plat préparé au supermarché. Ben non ! Parce qu'il vaut mieux un bon plat industriel qu'un mauvais fait maison et que, à une époque où l'on ne trouve plus de personnel pour éplucher les patates, il est bien agréable de trouver le gratin dauphinois tout fait en sac de 5 kilos et idem pour les oeufs à la neige. Le débat n'est pas prêt d'être clos.
Et Bocuse dans tout ça, me direz-vous ? Eh bien, il est comme un poisson dans l'eau au coeur du Bocuse d'Or, le concours qui porte son nom et le statufie de son vivant (quelle chance de l'avoir toujours parmi nous !) Les candidats qui ont triomphé de multiples épreuves et éliminatoires dans leur propre pays, s'affrontent en finale en préparant un plat à base d'Aberdeen Angus Scotch Beef et un autre de cabillaud, saint jacques royales et crevettes sauvages de la mer de Norvège. On se souvient que le Bocuse d'Or avait lancé le skrei et soutenu le poulet de Bresse quand sévissait la grippe aviaire et qu'elle mettait en cause ce merveilleux produit.
C'est le grand Daniel Boulud, le plus français des chefs américains et inversement avec ses 7 restaurants outre-Atlantique et principalement à New-York, qui est président d'honneur.
Reste que les concurrents du Bocuse d'Or ne sont pas de vraies révélations chez lesquels il est urgent de se précipiter une fois les portes du concours refermées.
Les chefs qui participent doivent être très bien entourés pour préparer un tel marathon et ce n'est souvent accessible qu'aux cuisiniers de très grands hôtels parisiens avec de gros moyens. C'est Philippe Mille de l'Hôtel Meurice qui représente la France cette année et des cas comme celui de Régis Marcon, chef et patron de restaurant dans sa Haute Loire natale, lauréat en 1995, sont rarissimes.
Alors, élitiste Bocuse ? Pas une seconde. Le chef et ses disciples, à commencer par le bataillon de MOF qui organisent le concours, ne connaissent que deux sortes de cuisine, la bonne et la mauvaise et le grand Paul aime par-dessus tout la cuisine de tous les jours comme il la sert dans ses brasseries. J'en veux pour preuve son dernier livre, écrit en collaboration avec Christophe Müller, son chef à Collonges "Simple comme Bocuse" aux Editions Glénat. Celui-là, avec ses recettes de rognons de veau moutarde, ses tomates farcies, son poulet au citron, ses bugnes et ses oeufs pochés vigneronne, je sens que je vais encore l'user jusqu'à la corde, ce bouquin-là !
Si vous avez la chance d'aller parcourir les allées du Sirha, vous ne manquerez pas l'International Caseus Award le samedi 24 janvier qui récompense les meilleurs fromagers, la Coupe du Monde de la Pâtisserie les 25 et 26 janvier présidée cette année par Pierre Hermé et qui fête son 20ème anniversaire. Le Mondial du Pain les 24 et 25 janvier avec en direct le dimanche à 11h30, l'émission "Goûtez voir" de la belle Odile Mattéi sur France 3, une des émissions culinaires les plus réussies et les plus appétissantes du PAF, bien que régionale. Et des débats, des colloques et autres manifestations avec des "monstres" de la cuisine comme Joël Robuchon, Anne Sophie Pic, Yannick Alléno...
Pendant ce temps là, les bouchons, en ville, sont pris d'assaut. Preuve s'il en est que, au moins pendant ces 5 jours là, Lyon est vraiment la capitale des capitales de la gastronomie. Tout simplement parce que tous ses acteurs y sont !
Publié par Martine Montémont à 16:02 0 commentaires
Libellés : Evénement, Gastronomie
lundi 12 janvier 2009
LE VIN JAUNE AU GOUT DE NOIX
Le fameux fût de chêne de 228 litres, symbole de la Percée du Vin Jaune est béni au cours d'une messe solennelle, comme le sont les truffes à Richerenches (84-Vaucluse) le 18 janvier.
On ne badine pas avec les fruits de la terre quand ils sont exceptionnels. Dans ce cas-là, Dieu lui-même se doit de participer !
Ensuite l'aimable tonneau, qui a dormi 6 ans et 3 mois sans qu'aucun vigneron n'y mette le nez, se balade dans les rues des villages qui organisent la perce. Cette année, c'est à Passenans et Frontenay (39-Jura) les 31 janvier et 1er février.
40.000 visiteurs fidèles vont participer à la liesse populaire dans les ruelles pavées des deux cités vigneronnes qui se souviennent encore que les gallo-romains étaient passés par là.
Petit aide mémoire au sujet du Vin Jaune, un des meilleurs vins blancs du monde d'après Curnonsky qui savait ce qu'il disait et buvait (et mangeait...) : Il est issu de cépage exclusivement Savagnin, le raisin est cueilli à extrême maturité (mi-octobre) et subi une évaporation au sein même du tonneau, joliment baptisée "la part des anges". C'est le voile de levures qui forme une fine pellicule à la surface et le protège d'une oxydation excessive. La légende (car il y en a une...) veut qu'un vigneron ait oublié un vieux fût au fond d'une cave. Tout comme les romains ont oublié un tonneau de Clairette de Die dans une rivière froide et les soeurs Tatin laissé tomber la tarte à l'envers. Heureux hasard qui font les grandes histoires !
Le résultat valait l'attente. Le vin jaune a une jolie couleur dorée, des arômes d'épices et de noix, mais aussi des notes de fraîcheur de fruits à chair blanche et même des notes florales légères. Tout cela vaut bien qu'on retire son chapeau ou qu'on le lance en l'air au passage du tonneau !
Pendant les deux jours de la Percée du Vin Jaune (préparez 11 euro, contre 10 l'an passé, pour accéder aux festivités), les événements se multiplient. Avec la cérémonie du clavelinage au cours de laquelle des jurys décident la mise en clavelin, une bouteille de 62cl, libérée de la fameuse part des anges qui se sont déjà servis. Seuls les meilleurs, soit un tiers des soixante vins dégustés, sont retenus (il n'est pas idiot de s'intéresser aux déclassés...)
Autre moment fort qui vaut le déplacement, la Vente aux Enchères de vieux millésimes. Soit environ 350 lots parmi lesquels certaines bouteilles centenaires. Comme un clavelin de 1774 vendu à Arbois en 1998 et deux vins de Château Châlon de 1865 et 1893 au cours de la Percée de 2007. Plus près de nous, nous vous signalons que Pierre Bouilleret, Propriétaire Viticulteur à Pupillin et maintenant retraité, annonce sur le web la vente ses derniers millésimes de Savagnin et Vin Jaune : Du Jaune 1976 à 85.00 euro et du 1989 à 32.00 euro; du Savagnin 1985 à 11.50 euro, du 1989 à 15.50 euro et du 1990 à 10.00 euro. Si cela vous intéresse...
La Percée est aussi l'occasion de découvrir tous les vins du Jura et leurs 4 AOC géographiques. Les Arbois rouge, en fait plutôt pastel, grenat ou rubis et les blancs, issus de cépage Trousseau, un nectar robuste et authentique et de Poulsard. Le Château-Châlon et son Vin Jaune exclusif, les Côtes du Jura, forts en caractère, les fameux vins de l'Etoile, les Macvin aux arômes de mirabelle et le Crémant du Jura dont la réputation s'envole depuis l'obtention de son AOC en 1995. Il représente plus de 20% de la production des AOC jurassiennes et on le déguste en blanc et aussi en rosé.
Pour découvrir toutes ces merveilles et toute l'année, il suffit de suivre la Route des Vins du Jura, reconnue Destination d'Excellence Européenne l'automne dernier. De quoi faire et découvrir. Assurément.
Publié par Martine Montémont à 17:11 0 commentaires
Libellés : Evénement, Gastronomie
mardi 6 janvier 2009
DES CHIENS DANS LA NEIGE
Il y a chiens et chiens ! Vous me direz que celle-là, je ne suis pas allée la chercher bien loin et que ce n'est pas une façon très punchy de commencer l'année. Mais je persiste et signe. Depuis quelques années, les amateurs de sports d'hiver se sont pris d'un véritable engouement pour les chiens de traîneaux.
Il n'est donc guère un arpent de neige qui court dans la forêt qui ne serve de boucle pour des balades en attelage. J'en ai déjà essayé plusieurs. A Chamonix en fond de vallée, en Vanoise, dans le Vercors.
J'ai tout entendu. Une chose et son contraire. Que les femelles étaient de bien meilleurs chiens de tête que les mâles, parce que plus dociles. Que les huskies n'étaient pas du tout les plus performants pour tirer les attelages et qu'il fallait préférer les malamutes ou toute autre race polaire. Et l'inverse naturellement...
Ce qui compte, c'est que chaque fois, j'ai passé un excellent moment. Que les toutous sont affectueux, mais il faut savoir que ce sont des animaux quand même et pas des chiens de salon. Il ne vaut mieux pas qu'un lapin traverse sous leur nez, ni un caniche nain en imper Vuitton. Je l'ai dit, il y a chiens et chiens. Ce dernier aurait très bien pu servir de casse-croûte si le musher n'avait pas remis de l'ordre dans la troupe. Les propriétaires du caniche ne se sont rendus compte de rien !
La plus bluffante des expériences, je l'ai faite au col du Mont Cenis, au Village Trappeur bâti par Damien et ses partenaires d'Oxygène Aventure et je vous l'ai racontée l'an passé. La formule a encore été développée cette année. On est toujours au Col du Mont Cenis à 2080m d'altitude, on apprend toujours à conduire des attelages, mais on peut aussi participer à des soirées polaires là-haut et même passer la nuit au camp avec les chiens couchés dans la neige et tout près du lac gelé.
Le Village Trappeur est à côté de la Base Polaire de la Grande Odyssée qui part d'Avoriaz le 11 janvier et termine en Maurienne le 21 janvier après une course de 375km et 12.500m de dénivelé positif. C'est la grande différence avec les courses du Grand Nord américain comme l'Iditarod et la Yukon Quest qui se courent sur de grandes étendues glacées presque plates.
Dans les Alpes, les chiens athlètes ne s'économisent guère. Très différents des gros nounours au pelage épais des attelages courants, ils sont fins, nerveux, croisés avec des lévriers le plus souvent et ils ont, de ce fait, des pattes fragiles que l'on emballe même dans des chaussettes pour leur éviter de prendre froid.
Il faut les voir débouler au départ en Mass Start à Sardières (73-Savoie) et traverser, à la nuit tombée, le village de Bonneval sur Arc (73-Savoie), un village ancien de toute beauté, classé parmi les Plus Beaux Villages de France qui est le seul à avoir échappé aux ravages de la guerre et à la destruction. De nombreuses familles de guides, comme les Blanc, sont issues de l'endroit et il faut écouter Jacqueline Jorcin, guide elle aussi, mais du Patrimoine, raconter notamment les aventures de Zébulon, l'un d'entre eux, parmi les plus illustres. Le soir, des visites aux flambeaux sont organisées, on écoute les contes et légendes de la région dans la pénombre, la neige épaisse et le froid piquant. C'est assez inoubliable...
En fin d'étape, les chiens rejoignent la Base Polaire du Mont Cenis, laquelle est ouverte au public pendant 15 jours et là, on se croirait vraiment au Pôle Nord. Les Chasseurs Alpins, qui testent sur le site des conditions extrêmes qui leur sont bien utiles en Afghanistan par exemple, apprennent la montagne aux visiteurs, leur raconte comment on construit les différentes sortes d'igloos, proposent boissons chaudes et repas (en plus, c'est plutôt bon, malgré la difficulté pour cuisiner), expliquent ce qu'est le ski d'alpinisme et les montées en peaux de phoque.
Ne reste plus, quand les militaires ont emporté leur matériel, que les tipis du Village Trappeur dans lesquels on se calfeutre pour affronter des températures nettement négatives. Par ciel clair, le soir, Damien observe les étoiles. C'est son autre passion, celle de l'été, quand il sillonne toute la région avec son Planétarium itinérant et qu'il apprend la carte du ciel aux amateurs et aux enfants.
La Haute Maurienne, à l'inverse de la Tarentaise et des Trois Vallées, a quelque chose de réellement authentique. L'envers de la médaille, c'est que l'on manque un peu d'hébergements élégants. Les hôtels 2 étoiles familiaux constituent encore la majeure partie de l'offre de séjour et il faudrait vraiment que certains fassent des efforts. On se tournera donc vers quelques certitudes comme Le Roc Noir ou encore Les Alpages de Val Cenis et les délicieuses maisons d'hôtes de Bonneval sur Arc comme le Penn Till, les Abeillos et surtout La Rosa.
Enfin, une halte s'impose, skis aux pieds, au Gran Scala derrière le barrage. C'est un resto flanqué d'un commerce multi-services où les antipasti, les pâtes et la cuisine italienne en général sont proprement délicieux.
Publié par Martine Montémont à 10:40 1 commentaires
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